Page:Hawthorne, La maison aux sept pignons, Hachette, 1886.djvu/312

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

« Oh, mon Dieu ! dit avec ferveur la pauvre Hepzibah qui, après cette première éjaculation, s’arrêta un moment pour réfléchir à ce que devait être sa prière… Oh, mon Dieu !… Dieu paternel, ne sommes-nous pas tes enfants ?… Prends pitié de nous, et viens-nous en aide ! »