Page:Hauser - Les Balkaniques, 1913.djvu/72

Cette page n’a pas encore été corrigée


Reconnais, ô Sultan, la main de notre Dieu !
Elle a, pour nous venger, dirigé les armées
Qui triomphèrent de tes troupes affamées !
Béni soit à jamais son règne glorieux !

Pleure, mon Padischah ! Pleure sur les malheurs
De ton Empire en agonie !
Mais songeant aux martyrs de la pauvre Arménie,
Dis-toi que c’est ton tour de répandre des pleurs !…