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du Calice et la consolait à sa façon :
— Crie pas, pleure pas ; qu’est-ce qu’ils peuvent bien me faire pour un merdeux portrait de l’Empereur ?
Et c’est ainsi que le brave soldat Chvéïk entra dans la grande guerre, selon ses habitudes douces et traitables. Les historiens s’émerveilleront de sa clairvoyance. Sans doute, si la situation a évolué un peu autrement qu’il ne l’avait annoncé devant le comptoir du Calice, souvenons-nous que notre ami Chvéïk n’avait pas de formation diplomatique.