Page:Haraucourt - La Légende des sexes, poëmes hystériques, 1882.djvu/148

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 140 —


Aux maudits que l’angoisse inonde
Tu permets les oublis moqueurs,
Quand tes baisers chantent en chœurs
Dans les taudis où le vent gronde.
Ô Luxure, reine du monde !