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çais avaient attaqué le vaisseau de son facteur à Rio de Janeiro, et avaient été repoussés avec perte. Ce marchand me donna deux ducats : que Dieu les lui rende.

Enfin, si quelque jeune étourdi ne veut croire ni ma parole ni celle de mes témoins, qu’il s’embarque pour ce pays, après avoir invoqué l’aide de Dieu, et qu’il y aille. Je lui ai indiqué le chemin, il n’a qu’à suivre mes traces ; car le monde est ouvert à celui que Dieu veut aider.


Louanges à Dieu dans l’éternité.


Amen.