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CHAPITRE IV.


Des habitations des Tuppinambas, dont j’ai été le prisonnier.


Les Tuppinambas demeurent entre la mer et les montagnes dont j’ai parlé. Leur territoire a soixante milles d’étendue : il est traversé par une rivière qu’ils nomment Paraeibe ; elle descend des montagnes, et se jette à la mer après un cours d’environ vingt-huit