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Les fils du télégraphe allongent leur portée
Où, point noir, l’oisillon met des gammes sans fin
Que module la bise en sa course emportée.
Le sifflet a gémi. Le train s’arrête. — Enfin
Dans mon cœur va tinter l’heure des chaudes fièvres,
Et je vole achever ce sonnet sur tes lèvres !