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Des souffles caressants l’ouragan est vainqueur,
Le reflêt des cieux morts attriste mainte flaque ;
Le jour est gris, plus grise encore est ma rancœur.
Un spleen tenace à tout se cramponne et se plaque.
Le reflêt des cieux morts attriste mainte flaque ;
Partout l’ennui nous prend, nous poigne en dur traqueur :
Un spleen tenace à tout se cramponne et se plaque…
Sous les cieux noirs, nos deuils sont moins noirs, ô mon cœur !