Les Litanies de l’Absinthe
hiltre charmant, ô toi que redoutent les mères
Et les amantes, philtre aux caresses amères,
Absinthe, viens à nous dans l’infini des spleens !
Toi, le sûr guérisseur des douleurs anciennes,
Aux nuits d’antan fauché par les magiciennes,
Absinthe, viens à nous dans l’infini des spleens !