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Mon but, en écrivant les pages suivantes, a été de présenter une impartiale étude de la situation du pays. Comme de nombreux et de plus habiles écrivains se sont déjà occupés de la situation de la Mandchourie, je me suis borné uniquement à passer en revue la Corée. J’espère qu’on ne me le reprochera pas et, dans le but de satisfaire ceux qui pensent que mon livre devrait contenir des renseignements sur les questions de Mandchourie, j’ai essayé de donner à mon introduction les apparences d’un chapitre qui traite uniquement de ce problème. Et maintenant, en terminant mon ouvrage, il me reste un devoir à remplir, qui n’est pas le moins agréable. Comme complément de mes notes personnelles sur la Corée, j’ai recueilli des renseignements de beaucoup de gens — écrivains, voyageurs, savants — tous ceux qui se sont intéressés à l’histoire contemporaine du Royaume Ermite. Je m’empresse de les remercier ici et en les nommant je montrerai que je suis reconnaissant de la bonté qu’ils m’ont témoignée. À M. MacLeavy Brown, des Douanes maritimes coréennes ; à M. Gubbins, auparavant de la Légation anglaise à Séoul ; à mon distingué et savant ami, le professeur Homer B. Hulbert, dont les notes sur la Corée ont été pour moi d’une valeur exceptionnelle, j’exprime ma cordiale reconnaissance ; envers Mme Bishop, le colonel Younghusband, le révérend Griffis, le major Gould-Adams, auteurs qui ont contribué d’une manière intéressante et importante à l’étude de la Corée, je témoigne des obligations que j’ai. À M. Bolton, de la maison Stanford, de Long-Acre, pour l’édition des cartes géographiques, je sais vraiment gré du travail patient que lui imposèrent les nombreuses insuffisances de mes données géographiques. À sir Douglas Straight, directeur de Pall Mall