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L’ABBÉ DE FRANCHEVILLE
pour Descartes, puisque l’aimable marquise ne dit pas un mot de ses poésies.
Ces petites pièces, alertes et sans prétention, ne furent sans doute que des péchés de jeunesse. Peut-être, en 1689, M. de Guébriac lui-même ne s’en souvenait-il déjà plus. Qu’il nous pardonne, du fond de sa tombe, de les avoir tirées de l’oubli, et de regretter sincèrement qu’il n’ait pas cherché, en se livrant plus complètement à l’épigramme, à donner un successeur à Maynard et à Gombauld.
René Kerviler.
Saint-Nazaire, septembre 1883.