Gourcuff. Les autres éditions des traductions de Barrin, l’unique édition de Montplaisir, les diverses éditions de Le Pays, de Cériziers, de l’Emanuel de Le Noir, des Cantiques du Père Monfort, n’ont pas les mêmes mérites de rareté que les livres mentionnés ci-dessus.
Nous remarquerons toutefois que la satire du P. Montfort sur les dérèglemens de Rennes (voir ci-dessous, p. 233), ayant été exclue de toutes les éditions des Cantiques faites en Bretagne, manque dans beaucoup d’exemplaires : nous nous sommes servis de la troisième édition (sans date) imprimée à Niort pour Jacques Desbordes, qui nous a été communiquée par M. de la Borderie.
Nous tenons aussi à compléter ce qui est dit dans notre texte (p. 159-160 ci-dessous) des éditions de l’Emanuel de Le Noir. Il] a eu de ce poème, au xviie siècle, au moins sept éditions : la première (non signalée jusqu’ici, mais dont M. de la Borderie possède un exemplaire) imprimée en 1657 « par René Rousseau, imprimeur demeurant à Paris, au milieu de la ruë Gal-