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réjoui ; car, par sa présence, elle met à néant le calme de mon cœur[1].


Ô Hafiz, prends patience, supporte ton mal jour et nuit, à la fin le moment viendra où tu atteindras le but de tes désirs.


  1. Ici quelques manuscrits donnent le vers suivant : « Oh ! quiconque a jeté les yeux sur cette belle au corps argenté, à la taille de cyprès, détournera désormais ses regards du cyprès de la prairie. »