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Sur le bord opposé, l’une des grandes machines des Marsiens, abandonnée par son occupant, se tenait debout, raide et géante, contre le ciel du soir. |
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Sur le bord opposé, l’une des grandes machines des Marsiens, abandonnée par son occupant, se tenait debout, raide et géante, contre le ciel du soir. |
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