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qui faisaient du service en campagne, et qui, bien entendu, lui avaient raconté l’histoire.

— C’est affreux !... — fit Bertrade, — de penser que cette petite s’est tuée !... elle était si gentille et si jeune !...

Giraud dit, d’une voix étrange qui résonna dans la grande salle à manger :

— C’est justement parce qu’on est jeune qu’il faut se tuer quand on est malheureux... on aurait trop longtemps à souffrir !...