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4 SIXIEME SCÈNE
Penxlanl, que lieiveuin dit ces paroles, Roll-aux-Farces en chiffonnier vient sur le lheatie par une porte a gauche, et, s’approchant de lxervoura, doucement et avec prudence, dit à voix basse. Rcrvcwca, ROZl-au,2 ;·—Fczrces,
’l Iloll-aux-Farces
r Sans bon motif, Seigneur
K€l’¥’olll’3
Comment, sans bon motif ?... ·
loll-aux-Farces
Oui, ma foi, cher Seigneur !
Regardez de tout côte ! Quelle belle journée Le soleil se leve resplendis saut, et ses premiers rayons Repandent chaleur et force sur ville et sur campagnes. Les oiseaux se 1·éveillent et leur chant Joyeux E lîédit la louange du Maître Tout-Pu1ssanl ;. La brise tiéde souffle sur les bois EL balance doucement l’herbe verte, les fleurs ’ Dans les tours, les cloches tintent l’Angelus, Et leur voix se mele aux voix indistinctes Des animaux dans les champsn. Loin la-bas la grande mer p Sommeille en léchant le sable et le goemon vert. La bruvérc et le aerien et les marguerites, S Lalande et les toiles d’araig· nées, la rose ctla reine des prés l’aubépine blanche, le laurier, le sureau, le fumeterre Hepanclent leur bonne odeur". Sur le chene, la belette (1) Fait des bonds impossibles. Les vaches et les chevaux-Les moutons sans enti-aves dans le champ et le landier Paissent et jouent, sans cramte... Sur terre Jamais jour plus beau ne luit, je le dis ll Ke1·\iou1ea E
Excellent, mon homme, tu es uiipaon bien dome’, quant au bec Et t’entendre parler m’est un plaisir !.. t à S-C’Il0&11ÈjK veut dire la b01ett0, MalS cet angel ne même pas sur les chênes. Le peète îvonlu L peut-être dire d1’gwiver, 1’éCUl’9lIll.
