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27. Y — Kevvouva, le visage sombre Par quelle grande angoisse Suis-je oppresse, helas !... Va chercher cette sorcière, V Jambe en-iil-de fer, et envoie la avec toi)usqu’a moi, Peut-être trouvera-t-elle, pour me tirer de peine, Huse, artifi< ; e, tour ou lierbe. Gan’-Ovjal Bien difficile est, Seigneur, de venir bout d’elle... À R Elle ne fait rien que quand il lui plaît, se Prince, Roi, Empereur, elle n’en fait cas, e, Et son plaisir est de se moquer d’eux..., · Cependant Vargent plaît tort à cette femme, W ~ t t Quand la bourse est pesante, on peut souvent v. q Gagner ses bonnes graeesa. P ’l Kevvouva, , i, il, J’ai argent et or, Autant que je veux... Je ne suis pas un prince pauvre Il Voici une bourse et en elle dix mille ecus Pour faire toute chose comme il faut., , Si j’aime les discours de la vieille, plus tard ~, ” Je Ven donnerai autant ou davantage J. V Gar-01*jal Je vais donc en route, Dieu vous garde t En santé et en joie, jusqu’a ce que Je sois de retour E ’ t » à Kcvvouva t V Dieu peu le diable ! aucun cas je n’en fais, i’t Celurci vaut celui-là pour moi, des a présent le à P p t Gsm-Orjal (en partant) ’p · · Dix mil écus il Mon maîtrea perdu la raison’W É Pour me donner en une t’ois autant d’argent... Que veut-il faire Un crime peutetre Ouvre l’oe1l, et l’oreille aussi !... En attendant, (iar-Orjal, prends un peu d’amusement, Et, au lieu de piquette, bois du vin par bouteilles ’ ’ ’l ’~ (Il-s’en va) ’ t -vè/+\M* ~ ’ \