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bon ? puisque le souci de cette mobile pensée était ailleurs ce jour-là ! Il devrait donc attendre les jours et les heures où viendrait à cette fuyante maîtresse, ainsi que ses autres caprices, le caprice d’être amoureuse.

Il rentra chez lui lentement, très las, à pas pesants, les yeux sur le trottoir, fatigué de vivre. Et il songea qu’ils n’avaient pris aucun rendez-vous prochain, ni chez elle, ni ailleurs.