Page:Guttinguer - Mélanges poétiques, 1832.djvu/71

Cette page n’a pas encore été corrigée


 
» Vous viendrez, mon ami ; ne me refusez pas !
» À nos danses du soir il faut que je vous voie :
» J’aime encor ces plaisirs ; pardonnez-moi ma joie,
» Et de vos doux regards venez suivre mes pas.
» Tenez, voyez, Arthur, ces fleurs, cette parure,
» Ces simples ornemens que vous avez choisis ;
» On dit qu’ils me font belle, et je m’en réjouis,
» Mais à cause de vous, de vous seul, je le jure. »
Mais lui, sombre et rêveur : « O faible créature,