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Dédicace.

À la Reine.




À vous dont la vive prière
Sans doute a désarmé les cieux !
À vous, ô Reine, épouse, mère,
Ces chants et ces rêves pieux !
Avec la divine Innocence
Vous avez cette ressemblance,
Qu’aussi votre royal bandeau,
Sur ce front que l’épreuve incline,
Enfonça d’abord son épine,
Et pour l’époux fut un fardeau.