Page:Gustave Toudouze - Péri en mer, 1905.pdf/91

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

dressa devant lui, séduisante, consolante, et quand son oncle l’eut conduit dans la chambre où il allait pouvoir reposer, il fit presque gaiement :

— Merci !

Quelque espérance lui rentrait au cœur, portée par cette jolie fille, dont la silhouette se fixa dans son cerveau, pleine de charme, chassant les sombres idées, et il s’endormit en rêvant au bonheur enfin retrouvé dans son pays natal, l’arrivée au port après une vie si terrible et si houleuse.