Page:Gustave Toudouze - Péri en mer, 1905.pdf/44

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

tivement paisibles du port, et, rapidement, contournant la cale qui avoisine le fortin, la cale des basses mers, gagna la jetée. Là se tenait une partie de la population, entassée entre les parapets, et, les plus près du phare, Guivarcʼh et Mariannik.

Au passage, Corentin les reconnut, les salua de son bras libre, et montrant la mer blanche d’écume qui déferlait rageusement, piqua droit dedans, criant :

— Adieu va !