sont rudes et grossiers ; depuis que leur duc est mort, ils l’aiment.
Et comme cela elle t’a refusé ?
Mon cortège n’était pas assez riche.
Et l’ambassadeur pas assez noble. Un vilain comme lui !
C’était prudence, car maître Olivier, tout grison qu’il est, est un galant qui aime les pucelles.
Mais je suis vengé et les affaires ont été bien en France.
Et comme cela ils n’ont pas voulu de toi ?
Ils prétextaient vos ruses.
Est-ce ma faute, Olivier ? qui l’a voulu ? Je te disais bien que tu serais mal en cette fonction, et qu’ils te railleraient de ta mince dignité de comte de Meulan. C’est pour les nobles. Va, je les hais et je sens dans mes veines un sang qui les hait.
Les lettres ont été lues, et le peuple s’est révolté ; ils nous trahissent, dit-on.