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sull’ agricoltura, sul commercio in generale, sulle manifatture, e sullo spirito della publica economia ; Discours sur les grandes richesses, sur l’agriculture, sur le commerce en général, sur les manufactures et sur l’esprit de l’économie publique.

Verri (Pietro) : Meditazioni sulla economia politica ; Méditations sur l’économie politique. — Riflessioni sulle leggi vincolanti, principalmente nell commercio de’ grani ; Réflexions sur les lois prohibitives, principalement dans le commerce des grains. — Dialogo sulle monete ; Dialogue sur les monnaies. — Degli elementi del commercio ; Des élémens du commerce. — Considerazioni sul lusso ; Considérations sur le luxe. — Et plusieurs autres écrits économiques, mais d’un intérêt plus particulier pour Milan, sa patrie.

Condillac (l’abbé de) : Le commerce et le gouvernement considérés l’un relativement à l’autre, ouvrage non terminé ; il a été réimprimé en 1815.

Gherardo d’Arco (Giam-Batista) : Dell’ armonia politico-economica fra la città e il suo territorio ; De l’harmonie politico-économique entre la ville et son territoire. — Sull’ estrazione delle materie prime e delle manifatture ; Sur l’exportation des matières premières et des objets manufacturés. — Dell’ influenza del commercio sull’ economia interna dei popoli e nella prosperità degli stati ; De l’influence du commerce sur l’économie intérieure des peuples et sur la prospérité des états. — Dell’ influenza del commercio sopra i talenti e i costumi ; De l’influence du commerce sur les talens et les usages.

Mengotti (Francesco) : Del commercio dei Romani ; Du commerce des Romains. — Il colbertismo ; Le colbertisme.

Dupont de Nemours : De l’exportation et de l’importation des grains, 1764. — Les éphémérides du citoyen, ouvrage périodique, qui parut de 1767 à 1775, fut commencé par l’abbé Baudeau et continué par Dupont de Nemours. Il renferme un grand nombre de faits relatifs à l’économie politique. Il est rédigé entièrement dans le sens de la secte de Quesnay.

Cet auteur, éminemment laborieux et instruit, a publié pendant soixante ans une foule de mémoires, d’articles, de rapports, d’essais, qui tous ont pour objet le bien public ; mais qu’on trouve trop souvent imprégnés de l’esprit de secte. Il a rendu le plus grand service à la science en présidant à la publication des OEu-