Serra (Antonio) : Breve trattato delle cause che possono far abondare li regni d’oro e d’argento dove non sono miniere, Traité abrégé des causes qui peuvent faire abonder l’or et l’argent dans les pays qui n’ont point de mines.
Mun (Thomas) : England’s treasure by foreign trade ; Le trésor de l’Angleterre dans le commerce extérieur. 1664.
Il avait antérieurement composé plusieurs écrits en faveur du privilège de la Compagnie des Indes.
Savary : Le parfait négociant, avec des avis et conseils sur les plus importantes matières de commerce.
Il fut employé en 1673, par Colbert, à la rédaction du Code marchand. Ce sont ses deux fils qui publièrent en 1723 le Dictionnaire universel du commerce.
Child (Josiah) : A new discourse on trade ; Nouveau discours sur le commerce. L’édition anglaise de 1670 est la meilleure. — Considérations sur le commerce et l’intérêt de l’argent, traduit en français en 1742, par l’économiste Gournay.
Huet, évêque d’Avranches : Histoire du commerce et de la navigation des anciens.
Davanzati (Bernardo) : Lezione delle monete ; Lecture sur les monnaies. — Notizia de Cambj ; Avis sur les changes.
Collet (Philibert) : Traité de l’usure. — Il soutient dans cet écrit que l’usure est plus légitime que la dîme, parce qu’elle est le prix d’un service rendu par un instrument, le capital.
Petty (William) : Political anatomy of Ireland ; Anatomie politique de l’Irlande, 1672. — Treatise of taxes and contributions ; Traité des impôts et contributions, 1679. — Quantulumcunque ; Tant soit peu, 1682.
North (Dudley) : Discourses on trade ; Discours sur le commerce, 1691. Cet ouvrage renferme, suivant M. M’ Culloch, des principes que n’aurait pas désavoués Adam Smith.
Locke : Considerations on the lowering of interest ; Considérations sur la baisse de l’intérêt, 1694. — Further considerations on the value of money ; Nouvelles considérations sur la valeur de l’argent, 1695. Il n’est point inscrit ici comme auteur de l’Essai sur l’entendement humain.
Vauban (le maréchal de) : Projet d’une dîme royale, 1 vol. in-4o.
Ce n’était, de la part de cet excellent citoyen, qu’un expédient