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LE CONGÉ

Ils étaient au moins vingt.

Ah ! les doux vœux qu’ils firent !

Lorsqu’on eut fouetté les chevaux et qu’ils furent lancés au galop, j’entendais encore :

— Adieu, fillot !

— Bon voyage !

— Écris-nous !

— Bonjour, major !

— À bientôt, mon garçon !

Les chapeaux et les mouchoirs s’agitèrent longtemps sur la route.