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LE COLLÈGE D’ÉVREUX !

tain âge. J’acceptai la proposition qui m’était faite.

J’allai présenter mes adieux au colonel et remercier de ses bontés pour moi ; il me dit :

— Mon garçon, ne l’oubliez pas ! vous avez en moi un ami toujours prêt à vous aider.

Je serrai sa main avec reconnaissance. Peu après, je quittai mon régiment, cette grande famille militaire de laquelle je reçus tant d’adieux affectueux, tant de bonnes paroles que je nai ja mais parlé sans émotion de mon cher Quarante-troisième.


FIN