Page:Guinault - Blondin, blondine et blondinet (1880).djvu/48

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Plus quarante-cinq francs pour…

— Monsieur Renardin, interrompit Lucas, le cousin Mauléon ne m’a donné que vingt pistoles, je vois que je n’aurai pas assez… vous réglerez votre compte avec lui, j’aime mieux ça !

— Comment ! dit Renardin, vous n’aurez pas le cœur d’avancer vingt-neuf malheureux francs pour votre cousin-germain ?

— Germain ou pas germain… c’est la femme qui tient les cordons de la bourse ; et elle n’est point là, faut croire !

Renardin et Philécu sortirent en se pinçant les lèvres ; ils étaient furieux. Ils prononcèrent le mot procès en regardant la maison de Claude.

— J’effraierai le bonhomme en lui