Entrai, où je vis mainte piaus
Metre en conroi, & blanche & noire ;
Puis truis la rue Perrenele
De Saint-Pol[1], la rue du Plaſtre[2],
Où maintes dames leur emplaſtre
A maint compaignon ont fait batre
Ce me ſamble pour eulz eſbatre.
En près eſt la rue du Puis[3].
La rue à Singes[4] après pris ;
- ↑ Dans la rue des Blans-Mantiaus.
Plus tard, cette rue devint la rue Piquet, du nom d’un individu qui y possédait une maison. Elle est devenue depuis, par altération, le passage Pecquay.
- ↑ De la rue vers la Porte du Temple à la rue de l’Abbéïe-du-Bec-Helouin.
Appelée antérieurement Jehan-Saint-Pol, elle a pris, au treizième siècle, le nom que lui donne Guillot et qu’elle porte encore.
- ↑ De la rue de la Bretonnerie à la rue des Blans-Mantiaus.
Elle doit son nom à un puits public qui y était établi depuis 1267. Elle s’est appelée, au seizième siècle, rue de la Fortune.
- ↑ De la rue de la Bretonnerie à la rue des Blans-Mantiaus.
Anciennement rue Pierre-d’Estampes, cette rue