Et parmi la Hérengerie[1],
M’en ving en la Tableterie[2],
En la rue à Petis-Soulers
De Baſenne[3] tout fu ſouillés
Deſrer ce ne mie fortune.
- ↑ De la rue Perrin-Gasselin à la rue de la Tableterie.
Cette voie publique, appelée depuis rue de la Vieille-Harengerie, tirait probablement son nom d’un marché de harengs qui s’y tenait. Jaillot fait observer toutefois qu’il y avait en cet endroit le Fief Harant, qui aurait pu donner son nom à la rue. La rue de Rivoli l’a fait entièrement disparaître.
- ↑ De la rue Saint-Denis à la rue de la Hérengerie.
Ce nom vient des tablettiers qui s’étaient établis dans cette rue. Elle s’est appelée aussi rue Sainte-Opportune. Elle a été absorbée par la nouvelle rue des Halles.
- ↑ De la rue Saint-Denis à Sainte-Opportune.
Cette rue, antérieurement appelée rue Alain-de-Dampierre, tirait le nom que lui donne Guillot du commerce de souliers de basane qui s’y faisait. Depuis, elle a pris le nom de rue de l’Aiguillerie, parce qu’elle était habitée par des marchands d’aiguilles.
Chevalier-du-Guet, parce que le commandant ou chevalier du guet y demeurait.