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la prière, et l’on considère cette union sanctifiée comme accompagnée de la grâce ; dans le cérémonial de la visite des malades, le prêtre prie seulement pour eux, mais il lui est recommandé de les confesser et de leur donner l’absolution des péchés, ce qui constitue un rite extérieur conférant la grâce.

Ainsi l’on peut dire que le Livre des prières publiques a conservé au moins quatre des cinq rites rejetés par les articles de religion. À part l’onction des malades, les autres ont été conservés plus ou moins complètement, et on leur attribue évidemment la grâce pour effet. Or, qu’est-ce qu’un rite qui