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XI
INTRODUCTION.

tueux que 011 d’un scribe avait, déjà mis entre les mains du public ; et ce ne lut qu’après y avoir travaillé pendant quatre ans, qu’il crut avoir achevé son œuvre. Il tit souvent la lecture de son poeme, auquel il donne plusieurs lois le titre de Sermon, la foule réunie autour du tombeau de saint Thomas, dans la crypte de l’église cathédrale :

Guarnkrs !i clcrüs del Pnnt Dne-el sim Sejxhu.n Del martir saint Thomas H dii su i><iësiuu ; Kt intime le)z le liAt ?l b. lumlxj al barim. T/n.n senmut ho ü sninz lu en i’igliae pcia Coirioru-bai uost roman et innlc îii^n eairemis. Des privez saint Thomas la verité apris.

Il avait reçu les confidences d’une abbesse, sœur du martyr, et les déclarations des moines et du prieur du couvent de Canterbury, avec lesquels il passa plusieurs années, et qui lui témoignèrent, d’après ce qu’il dit lui-même, leur admiration pour son poëme par de nombreux présents.

L’abbesse, suer saint Thomas, Tur s :onur et pur le banni, M’a donè palefroi et dras j M . >H faillent .nis Ji esperun ; l’îe {jetai pas mes dez sur

Quant jo toruai à ia meisun.

Œde, lft buenè pnnn de sainte Tcmtt-6, Li r.ovcnz dos scigrmrs (Ucus hir sachc buco grc’, M’uni ioL ruull graiiz sutiurs» de iursoyejit doiu.