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PRÉFACE

il s’adresse. Heureux si, parmi les poètes et les écrivains, quelques-uns veulent bien s’intéresser à ces vers, si complètement étrangers à l’âme moderne et aux sentiments du présent, rendre justice aux efforts du poète et juger qu’il n’a pas été trop inférieur à la tâche qu’il s’était imposée. Heureux surtout si son Maître illustre et vénéré, M. Leconte de Lisle, veut permettre à son modeste disciple de lui dédier les Siècles morts comme un témoignage de respectueuse affection et de profonde admiration.

Paris, juin 1889.