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le curé de village.


Mais son œil de vieillard, qui sourit et pardonne,
Dit une âme candide, aime, et que rien n’étonne ;
Et pour ce villageois j’éprouve un respect tel

Que mon cœur se réchauffe à sa rude parole,
Et que je pense voir, lorsqu’il monte à l’autel,
Autour de son front blanc frissonner l’auréole !


Avril 1884.