Page:Guaita - Rosa mystica, 1885.djvu/253

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Concordance


Près du houx gigantesque une caverne baîlle.
Du lierre enchevêtré se tord, capricieux,
Au granit dont surgit la massive muraille. —
La roche est grise ; l’antre est noir — et dans les cieux

Jaspés de violet, d’outremer et de brique,
Le grand soleil couchant ruisselle en fleuves d’or
Qui flamboie et rougeoie — ainsi qu’en la fabrique
La fonte coule, ignée, en pétillant encor.