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à maurice barrès.


Par la fièvre du Beau consumés, sans blêmir,
Et sans désavouer notre belle folie,
(Que le soleil nous arde, ou que le vent nous plie,)

Rêveurs et fraternels, marchons vers l’Avenir !…
Mais la grande Erato ne veut pas qu’on oublie,
Et change en perles d’or les pleurs du Souvenir.


Juin 1884.