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rosa mystica


Parfois je m’imagine, en l’église rêvant,
Que les Esprits des Chrétiens morts, (qu’un léger vent
Matinal — comme un vol de sansonnets — apporte,)

Dispersés dans la nef, chacun de son côté,
Perchent sur l’orgue, ou sur l’autel, ou sur la porte,
Pour chanter à mes yeux leurs hymnes de clarté !


Avril 1884.