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L’auteur a tenu à conserver à certains mots, dans le texte comme dans le dialogue, une prononciation qui peut paraître désuète mais qu’on leur donne encore dans la région, vieille de trois cents ans.

Les couplets à la page 277 sont tirés de la « Complainte des nouveaux mariés » que l’on chantait anciennement et qui a été reconstituée par M. E.-Z. Massicotte.