Page:Grimm - Contes choisis de la famille.djvu/87

Cette page a été validée par deux contributeurs.

au fer gauche de derrière son cheval.

— Ne t’en inquiète pas, répondit le marchand, le fer n’en tiendra pas moins pendant les six lieues au plus qu’il reste à faire. Je suis pressé.

Vers l’heure du goûter, il s’arrêta de nouveau pour faire donner l’avoine à sa monture. Le garçon d’écurie ne tarda pas à venir le trouver dans l’auberge.

— Monsieur ne sait pas, sans doute, lui dit-il, qu’il manque un fer au pied gauche de derrière de son cheval. Dois-je le conduire chez le maréchal ?

— Ne t’en inquiète pas, ré-