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mes. Ils fixèrent ensuite un jour et une heure où ils se retrouveraient dans la suite, pour revenir ensemble sous le toit paternel. Ces conventions arrêtées, ils partirent.

Or, il arriva que les trois frères eurent le bonheur de rencontrer chacun un maître consommé dans le métier qu’ils voulaient apprendre. C’est ainsi que notre maréchal-ferrant ne tarda pas à être chargé de ferrer les chevaux du roi ; aussi pensa-t-il dans sa barbe :

— Mes frères seront bien habiles s’ils me disputent la maison.

De son côté, le jeune barbier eut bientôt pour pratiques les plus grands seigneurs de la cour,