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roulée vingt fois autour de l’arbre, si bien que le levraut se trouva captif, et il eut beau tirer de toutes ses forces, il ne réussit qu’à se meurtrir le cou avec la corde.

— Attends-moi jusqu’à ce que je revienne, dit le musicien.

Et il poursuivit sa route.

Cependant à force de tirer, de s’agiter, de mordre la pierre et de travailler en tous sens, le loup avait fini par rendre la liberté à ses pattes en les retirant de la fente. Plein de colère et de rage, il se mit à la poursuite du musicien qu’il se promettait de mettre en pièces. Lorsque le renard l’aperçut qui arrivait au galop, il se prit à gémir