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public pour son honneur, et je serois très fâche que lui ou moi nous eussions tort publiquement. Ainsi soyez fidelle à notre amitié ; car j’aurois peut—être bien de la peine à me retenir, si l’Auteur me maltraitoit par une Réponse ; et nous pourrions donner aux Gens de Lettres des Scènes qui tourneroient à notre confusion. Je suis, etc.

FIN DE LA LETTRE CRITIQUE