Il est aussi l’auteur d’une brochure : Aux amateurs de violon. Actuellement rue du Faubourg-Poissonnière, 21, M. Simoutre s’est associé son fils et élève, qui le seconde dans ses travaux artistiques. Très bonne lutherie :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f5/%C3%89tiquette_Nicolas-Eug%C3%A8ne_Simoutre_et_fils_%E2%80%94_sans_date_-_T2p380.png/380px-%C3%89tiquette_Nicolas-Eug%C3%A8ne_Simoutre_et_fils_%E2%80%94_sans_date_-_T2p380.png)
Socquet (Louis). — Paris, 1730-1779. Étiquette manuscrite relevée dans une charmante viole d’amour :
fait par Louis Socquet
à Paris en 1750.
Plus tard, il se servit d’étiquettes lithographiées :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/b/bf/%C3%89tiquette_Louis_Socquet_%E2%80%94_1771_-_T2p380.png/350px-%C3%89tiquette_Louis_Socquet_%E2%80%94_1771_-_T2p380.png)
Un alto de ce luthier, portant la date de 1779. figure sur l’inventaire de Bruni.
Vidal parle d’un Socquet qui travaillait à Paris au commencement du xixe siècle, et dont les instruments étaient peu estimés. Nous ne savons s’il était de la même famille que celui-ci.
Steininger François). — Paris. Première moitié du xixe siècle. Bonne lutherie. Étiquette manuscrite :
F. Steininger
Paris, 1827.
Il tenta d’améliorer les cordes basses du violon, en renforçant la table près de la barre d’harmonie.