ouvriers. Installé d’abord à Genève, en 1841 il alla se fixer définitivement à Toulouse en 1849. Luthier de valeur, étiquette imprimée, entourée d’un filet :
Réparé par Ch. Simonin
luthier à Toulouse
élève de M. Veuillaume (sic) de Paris.
Simoutre (Nicolas). — Mirecourt, 1788 † Metz, 1870. Élève de Nicolas Lupot, à Paris. Il fut établi à Mirecourt, 1820-1844, puis à Metz, 1844-1870. Bon luthier. Les instruments qu’il a signés contiennent cette étiquette :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/93/%C3%89tiquette_Nicolas_Simoutre_%E2%80%94_18.._-_T2p379.png/250px-%C3%89tiquette_Nicolas_Simoutre_%E2%80%94_18.._-_T2p379.png)
Simoutre (Nicolas-Eugène). — Paris. Luthier contemporain. Né à Mirecourt le 19 avril 1831. Fils et élève du précédent. Il travailla chez Darche, à Paris, 1852 ; puis chez Roth, à Strasbourg, 1856 ; et s’établit à Bâle en 1860 :
Il y resta jusqu’en 1890 et vint alors se fixer à Paris, rue de l’Échiquier, 38 :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/c0/%C3%89tiquette_Nicolas-Eug%C3%A8ne_Simoutre_%E2%80%94_189._-_T2p379.png/380px-%C3%89tiquette_Nicolas-Eug%C3%A8ne_Simoutre_%E2%80%94_189._-_T2p379.png)
Ainsi qu’il est dit ci-dessus, M. Simoutre est l’inventeur du support harmonique, 1885 ; et de la barre semi-adhérente, 1887 ; dont il a donné des descriptions détaillées dans : Premier progrès en lutherie et Second progrès en lutherie, et qui ont pour but d’améliorer la sonorité. Les instruments auxquels il applique ses inventions portent l’étiquette suivante :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/de/%C3%89tiquette_Nicolas-Eug%C3%A8ne_Simoutre_%E2%80%94_r%C3%A9paration_%E2%80%94_189._-_T2p379.png/350px-%C3%89tiquette_Nicolas-Eug%C3%A8ne_Simoutre_%E2%80%94_r%C3%A9paration_%E2%80%94_189._-_T2p379.png)