Une très belle basse de viole de Claude Pierray est au musée du Conservatoire de musique, à Paris[1].
Pillementi (F.). — Gravé au feu dans le fond de l’instrument. Lutherie genre Gaviniès[2].
Pimpard. — Jenzat (Allier). Spécialité de vielles. Ancien ouvrier de la maison Pajot, il s’est établi en 1881.
Pingrié (Frédéric). Paris. Luthier amateur contemporain. Élève de Marie-Joseph Chardon.
Pique (François-Louis). — Paris. 1777-1816 environ. Né à Roret près Mirecourt en 1758. Élève de Saunier.
D’après un téorbe qui est au musée du Conservatoire, à Paris[3], Pique habitait en 1779 « rue Coquillière, au coin de la rue du Bouloy ». Il alla ensuite rue Plâtrière, 1787-1789, « vis-à-vis l’hôtel de Bullion » (sic). En 1791, rue Coquillière, « vis-à-vis le roulage de France » :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/6/68/%C3%89tiquette_Fran%C3%A7ois-Louis_Pique_%E2%80%94_1791_-_T2p365.png/350px-%C3%89tiquette_Fran%C3%A7ois-Louis_Pique_%E2%80%94_1791_-_T2p365.png)
Plus tard, il se fixa rue de Grenelle-Saint-Honoré :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/5d/%C3%89tiquette_Fran%C3%A7ois-Louis_Pique_%E2%80%94_1809_-_T2p365.png/370px-%C3%89tiquette_Fran%C3%A7ois-Louis_Pique_%E2%80%94_1809_-_T2p365.png)
Il se servit aussi d’une étiquette lithographiée :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/3/36/%C3%89tiquette_Fran%C3%A7ois-Louis_Pique_%E2%80%94_18.._-_T2p365.png/350px-%C3%89tiquette_Fran%C3%A7ois-Louis_Pique_%E2%80%94_18.._-_T2p365.png)