Son long séjour dans des ateliers si recommandables en a fait un très bon luthier. Ses instruments, où se reconnaît une belle main-d’œuvre, sont très estimés :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/b/b6/%C3%89tiquette_S%C3%A9bastien-Auguste_Deroux_%E2%80%94_1899_-_T2p320.png/330px-%C3%89tiquette_S%C3%A9bastien-Auguste_Deroux_%E2%80%94_1899_-_T2p320.png)
Deschamps Claude). — Paris, rue de Seine, 1783-1785.
Despons (Antoine). — Début du xviie siècle[1].
Desroussaux. — Verdun, xviie siècle. Nous avons vu un violon de facture ordinaire, marqué au feu, sous le talon du manche :
Didelin (Joseph). — Nancy, 1776. Il avait pour enseigne : À la guitare des Dames de France.
Diter (Justin). — Marseille. Luthier contemporain. Né à Mirecourt, le 16 février 1866.
Après avoir fait son apprentissage dans sa ville natale il entra, le 20 août 1890, chez M. Paul Blanchard, à Lyon, où il resta jusqu’au mois d’avril 1897. Les sept années qu’il passa dans cet atelier l’ont rendu très habile.
Associé, pendant quelque temps, avec M. Ressuche, dans le passage de l’Argue, à Lyon, il est établi à Marseille depuis le mois de janvier 1898 :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/d6/%C3%89tiquette_Justin_Diter_%E2%80%94_sans_date_-_T2p320.png/350px-%C3%89tiquette_Justin_Diter_%E2%80%94_sans_date_-_T2p320.png)
Dieulafait. — Paris, 1720. Connu par une très belle basse de viole à sept cordes, qui est au musée du Conservatoire de musique, à Paris[2].