Martyrs. 29 ; puis en 1889, au n° 6 de la rue Clauzel :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/d5/%C3%89tiquette_Georges_Cunault_%E2%80%94_1893_-_T2p316.png/350px-%C3%89tiquette_Georges_Cunault_%E2%80%94_1893_-_T2p316.png)
Depuis 1893, il est installé rue de Navarin, 21. M. Georges Cunault a largement profité des leçons de ses excellents maîtres. Ses instruments sont de belle facture et possèdent une jolie sonorité :
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/b/b0/%C3%89tiquette_Georges_Cunault_%E2%80%94_1900_-_T2p316.png/280px-%C3%89tiquette_Georges_Cunault_%E2%80%94_1900_-_T2p316.png)
Cuny. — Paris, vers 1750. Lutherie ordinaire. Un de ses violons est au musée du Conservatoire de musique, à Paris[1]. Il est marqué au feu :
Darte (Auguste). — Mirecourt, xixe siècle. Élève, beau-fils et successeur de Nicolas Vuillaume. Il avait travaillé chez J.-B. Vuillaume, à Paris. Il mourut à Mirecourt en 1888.
David. — Paris, vers 1730. Travail ordinaire.
Décante (Jacques). — Jenzat (Allier), 14 janvier 1801 † 5 novembre 1884. Il a construit des vielles dans le style de Pajot père et fils [2].
Decombe. — Paris, vers 1789. Voici le début d’un de ses prospectus :