Page:Grenier - La Mort du Juif-errant, 1857.djvu/80

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
▬ 67 ▬

<poem> Et suivi de la foule et de son long murmure, Chaque enfant me jetant au passage une injure, Je franchis furieux la porte de Sion. Alors je lui lançai ma malédiction ; Et je partis la rage au cœur, la mort dans l’âme, Frappé dans mon pays, dans mes fils, dans ma femme. »