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de son osthôtiqno. En Icto de rexoniphiire de la Bague d'AnHiba/, destiné à M. (ieorges Landry, il Inice ces lig-nes : « yoir siu' >usr. — imag-e de la vie, qnand ce n'est pas )ioir sut- )wir. » A la pi'eniière page de ses Foésies, il écrit : '

Ou, uni 1,1 vif assassine assassiniiit iikhi cd'iir, Je les ai cotninis en seriet, iimmu' nii riime, r,t>s vers dont jias un seul n'cxiiiiinc le bonheur L'auteur île ee lerueil veut fiaider raiionvnie... Il faut éloulFer ces sots eris de ilouleur ! C'est si hète d'ùtte viclinie !

Sur le Chcralic)' Des Touc/ws, il met ces mots mélan- coliques : « En agissant, i/s firent nos livres... Nous, nous ne les avons qu'écrits. » — Ou encore, celte fière devise : « La plus belle chose de la vie, l'héroisme et la gaîté. » — Ou bien, cette sentence ironique :

Ils étaient gais et furent des héros ! A leur |ilaee, a présent, vous trouvez îles zéros.

Sur l'exemplairo d'f'ji l'rrire Marié, adressé à P>nest Havet, on lit : « A M. Havot, l'illustre commen- tateur de Pascal, — un catholique à un philosophe, mais qui aiment la Force, où qu'elle soit, tous les deu.x. » Sur un autre exemplaire, se détache cette superbe dédi- dace : " Pour les pauvres de la ville de Coutancos, la c^ipitalc de mou Diocèse et la ville du séminaire de mon frère, l'abbé Léon Barbey d'Aurevilly, — un Noi'iiKind. plus fier d'être Noi-inaiid que d'clri' Fran(;ais. »

Le volume des Mcinorauda . donné à M. Paul Bour- e:e>t, porte simplement ceci : « A Paul Bourget, mon