ment de vivacité, que ça ne t'arrivera plus ?
— N...on ! fit Nono revenu à son obstination, non, c'est de sa faute.
— Voyons ! Riri ne peut pourtant pas venir te demander pardon du coup de poing qu’il a reçu ? » fit Hans intervenant à son tour, et cherchant à tourner la chose en plaisanterie, afin de dérider Nono qu’il voyait s’ancrer de plus en plus dans son obstination.
— Hé, fit Nono, hargneux, je ne lui demande pas cela. Qu’il reste où il est. Qui est-ce qui lui demande quelque chose ? »
À cette réponse, le visage des enfants qui entouraient Nono prit une expression sévère.
Ils le regardèrent tout étonnés, ne comprenant rien à son attitude.
Mais comme il méritait une leçon, ils affectèrent de s’éloigner de lui, et de ne plus lui adresser la parole.
Cependant, avant de s’éloigner, Mab tenta un dernier effort :
— Alors, c'est bien décidé ! Tu ne veux pas faire des excuses à Riri ?